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[papier à en-tête 3 J’attache fort peu d’im
du journal l’Epoque] -portance à cette oeuvre
et je trouve qu’en me
volant dans cette occasion
mes pirates ont détroussé un pau
-vre. Cependant, remerciez les
de ma part. Ils sont la
cause involontaire qu’un peu
de bruit s’est produit autour de
mon nom à Paris, et peut être
ce petit scandale, en m’arrachant
a une complète obscurité, me
rendra-t-elle quelque jour la
route du théâtre moins difficile à
quelque chose malheur est bon, et
M. M. Marcy et Jouanni auraient
été mes claqueurs. Remerciez les
en sincerement. Seulement j’ai
un reproche à leur adresser. J’au
-rais désiré que leur fièvre du
plagiat fût plus intense en
-core et qu’en train de fai
-re ils fûssent allés jusqu’au
bout dans leur travail de
calque. Je ne puis accepter
[rature] ces remaniements, qui, disent
ils modestement, ont rendu ma
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